Email marketing

Hard bounce

Terme	Définition
Hard bounce	Un hard bounce est un message d’erreur ou d’échec définitif envoyé par le serveur du domaine destinataire d’un message email au serveur de messagerie émetteur d'une campagne d’e-mailing. Il peut s'agir par exemple d'une erreur sur les parties "nom" ou "domaine" d’une adresse e-mail, ou encore d'une erreur de syntaxe non corrigée qui empêche le serveur de messagerie destinataire de délivrer le message. Il est comparable à un courrier postal non distribué. Une proportion trop importante de hard bounces est l'indice d'une mauvaise qualité du fichier utilisé. Les plateformes d'emailing suppriment alors automatiquement ces adresses afin de conserver le potentiel de délivrabilité des serveurs. Cette concentration trop importante peut être considérée comme une activité suspecte et déclencher un filtrage des messages par les FAI et webmails. La gestion des hard bounces devient donc très importante pour les dispositifs d'email marketing. Les hard bounces se différencient des soft bounces qui correspondent à des problèmes temporaires. Les exemples de Hard bounce sont variés : une boîte mail complète, une adresse email invalide, une boîte mail inexistante, un serveur non joignable... Tous ces éléments peuvent être sources de hard bounce et donner une fausse image aux destinataires. Il est important de connaître le Hard bounce car il peut entraîner des conséquences négatives pour l’entreprise qui envoie le mail : un taux de rebond élevé ainsi qu’un taux d’ouverture réduit par exemple. De plus, certaines plateformes ne tolèrent pas des taux de hard bounces trop importants et sanctionnent l'expéditeur en lui bloquant l'envoi des emails. Pour illustrer le concept de hard bounce, prenons l'exemple d'une entreprise qui organise une campagne de marketing par email afin de promouvoir ses produits. Si elle envoie des emails à des listes comprenant des adresses erronées ou inexistantes, elle risque alors de générer des hard bounces et donc d'être sanctionnée par la plateforme utilisée pour envoyer les emails. En Europe, les acteurs du milieu du Hard bounce sont nombreux : Mailjet, Sendinblue, Mailchimp, Zoho Campaigns et bien d'autres encore proposent des outils pour gérer les hard bounces et limiter leurs effets négatifs sur la campagne marketing. L'origine du Hard bounce remonte aux années 90 lorsque le marketing par email a commencé à se développer. Depuis lors, divers experts ont travaillé sur ce sujet et ont mis en place des bonnes pratiques afin de gérer au mieux ce phénomène. Aujourd'hui, plusieurs professionnels spécialisés proposent leurs services pour aider les entreprises à éviter les hard bounces et à garantir la qualité des listes utilisées pour les campagnes emailing. Les bonnes pratiques pour gérer les hard bounces consistent à vérifier régulièrement les listes utilisés (par exemple en supprimant les adresses erronées ou non actives), à analyser le taux de hard bounce et à mettre en place les moyens nécessaires pour le minimiser (utiliser un outil spécialisé par exemple). Le coût varie selon la plateforme choisie mais il est possible de trouver des solutions abordables pour garantir la qualité du fichier utilisé et la bonne délivrabilité des emails.

Terme

Définition

Un hard bounce est un message d’erreur ou d’échec définitif envoyé par le serveur du domaine destinataire d’un message email au serveur de messagerie émetteur d'une campagne d’e-mailing. Il peut s'agir par exemple d'une erreur sur les parties "nom" ou "domaine" d’une adresse e-mail, ou encore d'une erreur de syntaxe non corrigée qui empêche le serveur de messagerie destinataire de délivrer le message. Il est comparable à un courrier postal non distribué. Une proportion trop importante de hard bounces est l'indice d'une mauvaise qualité du fichier utilisé.

Les plateformes d'emailing suppriment alors automatiquement ces adresses afin de conserver le potentiel de délivrabilité des serveurs. Cette concentration trop importante peut être considérée comme une activité suspecte et déclencher un filtrage des messages par les FAI et webmails. La gestion des hard bounces devient donc très importante pour les dispositifs d'email marketing.

Les hard bounces se différencient des soft bounces qui correspondent à des problèmes temporaires.

Les exemples de Hard bounce sont variés : une boîte mail complète, une adresse email invalide, une boîte mail inexistante, un serveur non joignable... Tous ces éléments peuvent être sources de hard bounce et donner une fausse image aux destinataires.

Il est important de connaître le Hard bounce car il peut entraîner des conséquences négatives pour l’entreprise qui envoie le mail : un taux de rebond élevé ainsi qu’un taux d’ouverture réduit par exemple. De plus, certaines plateformes ne tolèrent pas des taux de hard bounces trop importants et sanctionnent l'expéditeur en lui bloquant l'envoi des emails.

Pour illustrer le concept de hard bounce, prenons l'exemple d'une entreprise qui organise une campagne de marketing par email afin de promouvoir ses produits. Si elle envoie des emails à des listes comprenant des adresses erronées ou inexistantes, elle risque alors de générer des hard bounces et donc d'être sanctionnée par la plateforme utilisée pour envoyer les emails.

En Europe, les acteurs du milieu du Hard bounce sont nombreux : Mailjet, Sendinblue, Mailchimp, Zoho Campaigns et bien d'autres encore proposent des outils pour gérer les hard bounces et limiter leurs effets négatifs sur la campagne marketing.

L'origine du Hard bounce remonte aux années 90 lorsque le marketing par email a commencé à se développer. Depuis lors, divers experts ont travaillé sur ce sujet et ont mis en place des bonnes pratiques afin de gérer au mieux ce phénomène. Aujourd'hui, plusieurs professionnels spécialisés proposent leurs services pour aider les entreprises à éviter les hard bounces et à garantir la qualité des listes utilisées pour les campagnes emailing.

Les bonnes pratiques pour gérer les hard bounces consistent à vérifier régulièrement les listes utilisés (par exemple en supprimant les adresses erronées ou non actives), à analyser le taux de hard bounce et à mettre en place les moyens nécessaires pour le minimiser (utiliser un outil spécialisé par exemple).

Le coût varie selon la plateforme choisie mais il est possible de trouver des solutions abordables pour garantir la qualité du fichier utilisé et la bonne délivrabilité des emails.